Selon le président de la FIFA, les retours sur les matches tests effectués depuis quelques mois sont positifs. Cela permet d'envisager d'utiliser cette technologie pour les situations suivantes :
- après un but marqué
- sur une situation pouvant amener un penalty
- pour un carton rouge direct
- pour corriger une erreur sur l'identité d’un joueur sanctionné
Dans son discours d'inauguration, Infantino a expliqué que « Ce n'est pas possible qu'en 2017, alors que tout le monde dans le stade ou chez soi, voit en quelques secondes si l'arbitre a commis une erreur ou pas et que la seule personne qui ne le sache pas soit justement l'arbitre ».