Coupe du monde 2018

Suède

Tour des Nations : Suède

Sans Ibra, jusqu'où la Suède ira-t-elle ? - Iconsport
Pendant 18 jours, l'équipe de la rédaction vous propose de (re)découvrir quotidiennement les 32 équipes qui disputeront la Coupe du monde 2018. Au programme d’aujourd’hui, la Suède. Après deux absences consécutives en Coupe du monde, les Bleus-jaunes (subtil surnom) veulent revenir en force !

C’était comment la dernière fois ?

La route a été bonne ?

en face de nous, forcément, sur le papier, ça ne nous met pas en grande confiance. Mais on est des vikings ! Notre mince victoire 1-0 à l’aller, suivie d’un nul (0-0) au retour, suffit pour nous assurer la qualification pour la Coupe du monde 2018. C’est fait, on est de retour ! Pour vous jouer un mauvais tour, oui, certainement.

Un p’tit gars à observer en particulier ?

, Janne Andersson, et passera donc très certainement son Mondial confortablement installé dans sa nouvelle résidence à LA. 

Parlons d'un autre attaquant, tout aussi impressionnant, c'est John Guidetti ! Il a du sang italien, même si ça n'est pas flagrant aux premiers abords, possède six prénoms, et a débuté sa jeune carrière... en Afrique puisqu'il avait dix ans quand ses parents ont déménagé à Nairobi. S'il a connu une période assez difficile à 20 ans, enchainant les blessures, le Suédois est aujourd'hui en grande forme et espère emmener son équipe le plus loin possible. 

C’est quoi l’objectif cette année ?

» c’est devenu notre devise. Parce qu’on peut vraiment dire que notre parcours en Coupe du monde n’a jamais été très jouasse. On n’a pas participé aux deux plus récentes éditions, et lors des deux précédentes on s’arrête en huitième. La seule et unique fois de notre histoire où on a fait un beau parcours, c’était en 1994 aux Etats-Unis, on gagne la petite finale face à la Bulgarie. Au moins on était sur le podium, et oui Arsène ! Donc au vu de notre histoire en Mondial, on ne va pas être trop présomptueux. Si on arrive en quart, on sera déjà super fier !

Un scénario idéal ?

, imaginant que c'est lui qui plante ce but). Mais parvient à égaliser à l'arrachée, sur une erreur de relance de Manu Neuer. Après notre victoire 1-0 face à la Corée du Sud, ce nul nous fait du bien, mais pour passer la phase de poule, il nous faut une victoire contre le Mexique, histoire de se rassurer en fonction du résultat allemand. Zlatan ne pouvant revenir nous faire un tir de 50 mètres, ou une retournée accrobatique, on compte sur notre milieu Emil Forsberg pour décoincer certaines situations. Se jouant des défenseurs mexicains, il réussit un centre magnifique que reprend de la tête John Guidetti, notre attaquant vedette - il est même comparé à Wayne Rooney, c'est peu dire. Encore une victoire sur un petit score, mais la qualif, elle est là ! Et le summum ? L'Allemagne fait un nul, on se retrouve premier du groupe ! Ce qui nous évite de taper le Brésil en huitième, mais la Suisse. A force de manger trop de Milka, les Suisses se présentent à nous sous un mauvais jour, et on réussit à les battre 2 à 1. En avant les quarts !

A l’inverse, un scénario catastrophe ?

 » qu’ils disent… Bon, on a déjà évité ce dicton en se qualifiant, donc la cata, ce serait de s’arrêter encore trop tôt, et ne pas passer les huitièmes. Certes, il faut se qualifier pendant la phase de poule, et ça ne sera pas une mince affaire. Mais quand on voit les matchs de l’Allemagne en ce moment, on se dit Joachim Löw doit paniquer plus que nous. Et les Mexicains ? Bah, on leur ramène de la tequila, du soleil et des nanas, et on est sûr de ne pas les voir pendant 90 minutes.

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Le 12ème homme, c’est lui. Zlatan, forever dans notre cœur.

La stat’ inutile mais qu’on vous donne quand même parce que ça nous fait plaisir !

62. Le nombre de buts inscrits par notre meilleur buteur. Un certain Ibra. Toujours il est là.

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