COLOMBIE-JAPON 
: DE QUOI CA PARLE ?
COLOMBIE-JAPON 
: DE QUOI CA PARLE ?Colombie-Japon, c’est comme Shakira versus Pikachu. Les deux ont leurs fans mais niveau déhanché et jeu de jambes, l’avantage est pour l’Amérique du sud.
Colombie-Japon, c’est aussi et surtout une grande histoire d’amour entre deux sélections nationales qui aiment se retrouver dès qu’elles le peuvent. Mondial 2014, Jeux olympiques 2016 et maintenant Mondial 2018. Manque de chance pour les Japonais, ils n’ont, jusqu’ici, jamais réussi à sortir des poules face aux Cafeteros.
LES ENJEUX CÔTE COLOMBIE
Eliminés en quarts de finale par le Brésil (2-1) en 2014, les Cafeteros ont à cœur de faire aussi bien si ce n’est mieux. Argument de taille, ils pourront compter sur la présence de leur capitaine, Radamel Falcao, absent lors de la dernière édition. Décrocher trois points face au Japon, ce serait débuter le Mondial de la meilleure des façons. Mais il faut dire que les favoris des rencontres n’ont pas toujours eu le match facile ces derniers jours (coucou l’Argentine, l’Allemagne et le Brésil).
LES ENJEUX CÔTE JAPON
C’est simple : faire mieux qu’en 2014. Cette année-là, les Japonais sont éliminés au premier tour après un nul face à la Grèce (0-0) et deux défaites contre la Côte d’Ivoire (2-1) et la Colombie (1-4). Un point au compteur, record à battre. Les joueurs d’Akira Nishino espèrent réitérer les performances de 2002 et 2010 où le Japon avait atteint les huitièmes de finale. Mais la sélection nippone arrive en Russie quelque peu déstabilisée après l’éviction de son sélectionneur, Vahid Halihodzic, deux mois avant le début de la compétition.
UN NOM DE JOUEUR COLOMBIEN A PLACER DANS UNE CONVERSATION : Radamel Falcao
est avérée (nous, on y croit pas), José Pékerman et les supporters compteront encore plus sur lui pour aller décrocher une première victoire.
UN NOM DE JOUEUR JAPONAIS A PLACER DANS UNE CONVERSATION : Hiroki Sakai
Ce n’est pas bien original, effectivement. Mais que voulez-vous, le p’tit gars joue dans notre beau pays, à Marseille plus précisément, et nous nous devons d’être chauvins ! De plus, c’est lui qui a libéré les Phocéens face à Leipzig en quart de finale de l’Europa League en avril dernier (5-2). On n’est pas à l’abri d’une nouvelle surprise. Et puis surtout, on pense à vous. Le nom du latéral de l’OM est l’un des plus faciles à prononcer. Sans compter le nombre de possibilités de jeux de mots qu’il offre…
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— Le Monde (@lemondefr) 19 juin 2018
Si vous n'arrivez pas à patienter tranquillement jusqu'au début du match, allez donc vous essayer au sujet du Japon tombé au Bac.
On a flairé les 11 de départ probables :
Ospina – Arias, Zapata, Sanchez, Fabra – Cuadrado, Aguilar, Sanchez, James - Falcao, Muriel
Kawashima – Sakaï, Yoshida, Makino, Nagatomo – Kagawa, Asano, Ideguchi, Yamaguchi, Haraguchi – Oksako.
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