: En pleine crise avant le début du Mondial suite au limogeage de son sélectionneur Julen Lopetegui, la Roja nous a offert LE match de ce Mondial. 3-3 face au Portugal dans une rencontre sans temps mort, d’une haute qualité technique et avec des buts superbes, le changement de sélectionneur 3 jours plus tôt ne semblait pas affecté les favoris de la compétition. Mais l’engouement est vite retombé après la victoire poussive 1-0 face à l’Iran, beaucoup plus faible sur le papier que l’Espagne. Qu’est-il arrivé au jeu flamboyant des Espagnols ?! Le dernier match face au Maroc sera l’occasion de nous faire rêver à nouveau !
) les voyaient bien créer la surprise et éjecter le Portugal du Mondial. On peut dire que tout ne s’est pas passé comme prévu : une défaite lors de la première journée face à l’Iran dans les derniers instants (1-0) et un second match face au Portugal qui se termine une nouvelle fois sur la plus petite des marges (1-0). Le Maroc est dernier du groupe et pourra nourrir des regrets, l’Iran était à la portée des Lions de l’Atlas, tout comme le Portugal méconnaissable dans cette rencontre. Allez, encore un match et pas le plus évident : l'Espagne !
— Coupe du Monde ???? (@fifaworldcup_fr) 20 juin 2018
Le Maroc est d’ores et déjà éliminé et n’a pas grand-chose à jouer dans ce match si ce n’est sauver l’honneur et éviter de terminer avec 0 point. C’est donc l’Espagne qu’il faudra surveiller dans une rencontre qui ne s’annonce pas comme la plus intéressante de la semaine. La Roja n’est pas encore assuré d’aller au prochain tour, mais c’est tout comme, c’est donc la première place qu’elle ira chercher face aux Lions de l’Atlas. L'écart ne se fait pas qu'en terme de points, sur le papier l'Espagne semble bien plus dangereuse que le Maroc. Une équipe au sommet, une autre au plus bas, cette rencontre se dirige tout droit vers un remake de David contre Goliath.
Avec 4 points, il n’en manque qu’un dernier pour assurer à la Roja un ticket vers les huitièmes de finales. Une victoire avec la manière et c’est la première place qui s’offre à eux. A l’heure où nous écrivons ces lignes, les matchs du groupe A n’ont pas encore eu lieu. Qui affrontera la Russie et l’Uruguay ? Faut-il terminer premier ou deuxième ? Nul doute que les hommes de Fernando Hierro auront ces deux questions dans un coin de leur tête. A vrai dire difficile de dire s’il est plus évident de jouer les Uruguayens, capables de réaliser un exploit sur 90 minutes ou les Russes, survoltés depuis ce début de compétition à domicile. Dans tous les cas, les Espagnols auront à cœur de gagner ce match et assurer la première place afin de prouver au monde entier que ce statut de favoris n’est pas dû au hasard.
Soyons clairs : aucun. Les hommes d’Hervé Renard sont derniers du groupe avec deux défaites en autant de rencontres et n’ont plus aucune chance de se qualifier pour les huitièmes de finales. Pourtant, à la vue de leurs deux matchs, les Lions de l'Atlas auraient pu espérer mieux. Deux défaites 1-0, la première à cause d’un csc dans les arrêts de jeu et une autre dans laquelle ils ont dominé la rencontre. Si la chance avait tourné dans l’autre sens, ils auraient eu 3 voir 4 points et joueraient aujourd’hui une qualification dans un dernier match synonyme de finale. Mais avec des si on mettrait Moscou en bouteille. Seul enjeu pour les Marocains aujourd’hui : profiter de ce dernier match de Coupe du monde, prendre du plaisir et pourquoi pas accrocher les Espagnols.
Ce nom doit vous parler à vous, supporter olympiens ! Cesar Azpilicueta a porté les couleurs de l’OM deux saisons entre 2010 et 2012. Depuis il fait les beaux jours de Chelsea et il s’est révélé comme l’un des meilleurs défenseurs de Premier League. D’abord latéral gauche, il s’impose aujourd’hui en défense central, dans le système en 3-4-3 plébiscité par Antonio Conte. La concurrence étant rude à ce poste dans la sélection espagnole, Cesar Azplicueta est aligné défenseur droit en doublure de Dani Carvajal. Avec seulement 3 petites sélections cette année on espère tout de même voir l’ancien Olympien fouler les pelouses russes pendant ce Mondial.
Restons dans les anciens pensionnaires de notre magnifique championnat de Ligue 1 ! 4 saisons à Montpellier et un titre de champion de France, on peut dire que Younes Belhanda a marqué les esprits lors de son passage dans l’Hérault. Il est même revenu 4 ans plus tard à Nice tellement il nous manquait ! Après trois saisons au Dynamo Kiev, 6 mois à Schalke 04 et une petite année à l’OGC Nice, le milieu offensif marocain est aujourd’hui en Turquie à Galatasaray. Élément important dans le système d’Hervé Renard, c’est un titulaire indiscutable avec les Lions de l'Atlas. Allez Younes fait nous fait rêver ce soir !
— Adilson (@Adilsoon92) 24 juin 2018
: De Gea - Carvajal, Ramos, Piqué, Alba - Koke, Busquets, Thiago Alcantara - David Silva, Diego Costa, Isco
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