Pepe aka Hulk : Il n’en faut pas beaucoup pour que Pepe se transforme en une bête incontrôlable. Tout le monde a encore en tête son pétage de plomb face à Getafe, son écrasage de main face à Messi ou son espèce de coup de tête, il y a quatre ans contre l’Allemagne. Müller avait bien joué le coup, mais c’est vrai qu’il ne faut pas énerver Pepe sur un terrain de football. Formé par Jorge Costa, ancien découpeur officiel du FC Porto, Pepe n’attend pas pour frapper. Sa force ? Malgré son gabarit très imposant, ce sont les petites pointes qui ressortent de ses chaussures. Avec ces petits bouts de métal, le défenseur portugais n’a peur de rien. Pas besoin de combinaison à la Iron Man, la seule faiblesse de Pepe, les cartons rouges qui ont le pouvoir de le renvoyer au vestiaire. Une invention de l’organisation secrète de la FIFA pour mettre fin à la domination du terrible Pepe.
Cristiano Ronaldo aka Iron Man : Milliardaire, beau goss, adulé de la gente féminine. Cristiano Ronaldo, c’est ce mec parfait qu’on aime détester, mais qui nous surprend tellement qu’on est aussi obligé de l’aimer. Il a sauvé tellement de situations, qu’on ne peut que se prosterner devant son génie. Toujours là au moment où il le faut, prêt à donner son corps à la science pour toujours être plus fort. Parce que oui, quand on voit la tête de CR à ses débuts et ce qu’il est devenu, pas de doutes, le bistouri a eu son mot à dire. Ronaldo n’est pas encore Tony Stark, il lui manque quelques diplômes et surtout il n’a pas encore sauvé le monde… Mais pour beaucoup, il a sauvé la face du football, permettant au Professeur Xavier (Zinédine Zidane) de remporter trois ligues des champions. A quand des mini réacteurs derrière ses chaussures pour égaler Tony Stark ?
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— Cristiano Ronaldo (@Cristiano) 14 juin 2018
Gonçalo Guedes aka Flash : Aussi rapide que la lumière, difficile de rattraper Gonçalo Guedes, quand celui-ci est lancé. Formé par l’autre grande équipe du Portugal, Guedes a compris qu’il pouvait courir plus vite que les autres, quand il a semé le lion de Sporting pour se réfugier dans le nid de l’aigle géant du Benfica. C’est avec cet animal formateur qu’il développe ses qualités de vision du jeu et surtout sa capacité d’accélération pour se saisir de sa proie. Courir vite et ne pas commettre d’erreur d’appréciation, car un débordement en touche, c’est bien, mais ça ne permet pas de gagner. Beaucoup disent que Gonçalo Guedes est le fruit d’une expérience, financée par Cristiano Ronaldo… Tout ça dans un but de remporter la Coupe du monde et de dominer la planète football.
Bernardo Silva aka Ant Man : Fils spirituel de Kirikou, Bernardo Silva est le héros miniature de cette Coupe du monde, pour les Portugais. Ce milieu de poche est l’attraction de tout un pays qui a suivi la carrière du jeune Bernardo de très près. En effet, Bernardo Silva a eu beaucoup de mal à devenir professionnel, sa taille étant un frein à la possibilité de devenir pro. Mais comme une vrai fourmis, Bernardo est partie parler à la confrérie des petits joueurs de football pour parler à son président, Mathieu Valbuena et lui demander son soutien. Désormais, le joueur est capable de se transformer en une créature tellement minuscule, qu’il est impossible de lui subtiliser le ballon. Il peut reprendre, très rapidement, sa taille normale et distribuer un bon centre ou décocher une frappa pour faire gagner ses équipiers. Attention ne vous fiez pas à la taille, Bernardo Silva possède toute une colonie, qui n’hésitera pas à l’aider, pour se défaire des défenseurs.
Já em Sochi focados no jogo de amanhã! Vamos @selecaoportugal ????????⚽️#fpf #conquistaosonho #portugal pic.twitter.com/dRzXdOFGz4
— Bernardo Silva (@BernardoCSilva) 14 juin 2018
William Carvalho aka Black Panther : Omniprésent ! Infatigable ! Prêt à tout pour défendre son pays, William Carvalho ne vit pas au Wakanda, mais c’est tout comme. Placer en première ligne, Carvalho est un vrai guerrier. Repoussant les attaques adverses, comme on tuerait une mouche en plein vol, le joueur de Sporting est le guerrier de l’équipe du Portugal. Rarement battu en duel, toujours prêt à se sacrifier afin de maintenir le secret de la Lusitanie, ses adversaires ont souvent eu l’impression de passer à la machine à laver après une rencontre avec le milieu de terrain portugais. Moins agile qu’une panthère, mais beaucoup plus robuste ! Ne vous fiez pas à sa petite moustache et proteger vos tibias !
O grande dia chegou. Começa a nossa caminhada no Mundial. ???????????? #ConquistaOSonho pic.twitter.com/erFHOzUH90
— William Carvalho (@wllmcarvalho14) 15 juin 2018